Nous décidons de partir le vendredi 3 octobre pour Madère afin de rejoindre l’équipage de Mariposa qui est à Quinta Do Lorde depuis au moins une semaine. Les places sont apparemment rares dans ce port, Mariposa nous réserve donc gentiment une place pour une semaine.
Nous partons donc pour une petite traversée de 30 milles, avec Madère en visu quand il fait beau. Mais, pour nous le ciel est couvert, donc nous ne voyons pas encore l’île.
- Départ de Porto Santo
- Selfie d’Eléa
- Le sourire est au beau fixe et le temps est nuageux
- Eléa n’aime toujours pas la houle
- Nous laissons Porto Santo dans notre sillage
- Surveillance de Monica…
Très vite nous tangonnons le génois, car nous sommes vent arrière. Nous avançons bien entre 5 et 7 noeuds. Nous sommes partis après deux voiliers, un norvégien et français. Nous nous amusons à les gratter… Bon d’accord ils sont plus petits que nous, mais nous ne connaissons pas leur poids !
Cléo se tente une petite séance de Maths, mais s’arrête assez vite, car elle trouve que le bateau bouge beaucoup à l’intérieur; elle préfère se faire une petite sieste.
Eléa re-teste le sceau, et dit « Papa, le Palmito, c’est comme la banane. Ça le même goût au retour qu’à l’aller… »; une fois que c’est sorti, elle a beaucoup d’humour…
- Cléo profite de la traversée pour travailler
- Mais le roulis la fatigue vite
- Toujours une bonne houle (2m?)
- Surveillance des autres voiliers nous accompagnant
- Les voiles en ciseaux qui battent…
- ou pas ! Difficile de régler quant on est plein vent arrière.
- Eléa se fait une poupée avec un reste de bout.
- On aperçoit la pointe de Madère
- La côte est en vue, Eléa retrouve du peps.
Apres un petit frichti, nous voyons la terre… Pas de dauphin, ni de poisson… Pourtant, nous avions bien mis un morceau de gras de Pata Negra sur l’hameçon pour attirer daurades et bonites.
Nous enlevons le tangon, pour pouvoir passer sous le vent de l’île. Nous effectuons un bord plus serré à côté de Spray un bateau suédois. Comme ils font la même route que nous, on se dit qu’on va au même endroit. Nous en profitons donc pour le prendre en photo, car c’est toujours sympa d’avoir des photos de son bateau sous voile. À l’arrivée, Séb les croise sur les pontons et leur propose de leur donner les photos. Très content, Spray nous remercie en nous donnant des bonbons et des chocolats suédois…
- Terre !!!
- Côte lascérée
- Puffin cendré de Madère
- Nous lofons pour arrondir le cap
- Ponta de Sao Lourenço
- Vérification des voiliers sur Tribord !
- Le captain porte le gilet car il vient de faire tomber le tangon à l’avant du bateau.
- Soulagée, on arrive !
- Spray, un voilier Suédois bien joli que nous rencontrons au port
Arrivée très sympa au port en fin d’après-midi. Les filles cherchent Mariposa, car ont hâte de rencontrer les enfants de cet équipage, qui ont le même âge qu’elles… Mais malheureusement, Mariposa n’est plus là… Le temps qu’on récupère le wifi, on apprend par mail qu’ils sont partis le jour même pour les îles Desertas…. Loupé, pas grave, on se retrouvera aux Canaries…. Eléa est très déçue, car elle rêve de jouer avec Lucie…
Nous décidons de rester dans cette marina une semaine, pour pouvoir découvrir cette magnifique île, très verte, à l’opposé de Porto Santo.
- Arrivée sur Quinta do Lorde (sur tribord)
- Le resort de Quinta de Lorde
- Notre port sur Madère.
PS : petites précisions au sujet de Monica, Élisabeth et les autres …
Comme tout bon marin, nous avons donné un petit nom aux choses qui nous entourent, ce qui rend notre voilier un peu plus « habité ».
Pour le pilote automatique, Raymond était pris par de nombreux bateaux (Raymond barre…). Le notre ayant tendance à couiner légèrement à chaque mouvement du vérin, nous avons opté pour Monica (pour mes ex-collègues, aucun rapport avec notre magasinier préféré) en hommage à une grande joueuse de tennis qui nous donnait du « Henry » à chaque coup de boutoir… Je pense que vous l’avez tous reconnus, nous espérons juste qu’elle ne se prendra pas un coup de couteau dans le dos…
La bôme se prénomme Élisabeth, pour les même raisons que Monica et parce que c’est la nuit au mouillage que c’est le plus gênant… Hors, c’est bien connu, c’est au lit que Queen Élisabeth !
Il nous reste à donner des prénoms au moteur (pour l’instant dénommé le Bouzin) et à l’éolienne, qui a également une fâcheuse tendance à se détacher en pleine nuit au mouillage ou au port et qui induit chez Séb une poussée d’adrénaline et un déferlement de bachi-bouzoucs et autre onomatopées. Parité obligé, il nous faut trouver des noms masculins et nous lançons donc un concours car les noms trouvés ne nous satisfont pas.
N’hésitez pas à nous faire vos commentaires avec vos propositions, Les Clauz-Cor-Kim-Mart, on compte sur vous !
Ici aussi les enfants avaient hâtent de vous rencontrer… Le vendredi de votre arrivée à Quinta do Lorde ils guettaient mais rien…
Comme nous avions déjà passé 9 jours et qu’il y avait du vent nous avons quitté la marina…
Et pendant un moment, nous étions sans wifi.
Bon ce n’est que partie remise, on a le même itinéraire de prévu on devrait bien pouvoir prendre l’apéro ensemble… avant la grande traversée !!! 😉
Bizzz de Lanzarote,
Mariposa !
salut,votre voyage a l’air super!!!
Nous touts va bien nous nous somme bien instaler dans notre nouvelle maison.
Nous vous suvrons jusque a la fin de votre voyage bon voyage a plus!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
de ilyan a plus